Chariots couverts ou bâchés sur le sentier Dawson ou dans les environs. Laing, E. & Laing, A. (1869). Pioneers of Clear Springs: The land of springs, coulees and rich loamy soil, Clear Spring beginnings with memory connections (Part 1, p.1). Extrait le 9 juin 2020 de http://hdl.handle.net/10719/3101800
« Lorsque le Manitoba est devenu une province, on se mit à organiser le territoire. Le commerce des fourrures commençait à dépérir et le temps était venu d’inciter les colons à coloniser les terres et à récolter les grandes moissons. Le gouvernement organisa une grande campagne afin d’attirer les colons dans le territoire. Les gens sont venus en grands nombres de l’Europe pour s’établir au Manitoba. La plupart des terres dans la municipalité rurale de Taché était dans les mains de propriétaires non-résidents. (…)
Les rôles d’imposition de la municipalité se lisent comme une liste d’adresses des membres de l’ONU. On y trouvait des propriétaires non gérants de Victoria Square, Montréal, Ashdown, Ogilvie Milling co., The London and Ontario Investment Co., The London and Cdn. Loan Agency Col, propriétaires de Santa Anna, Californie; Portage-la-Prairie, Selkirk, Winnipeg, Dakota du Nord, Toronto, Ontario; Orillia, Ontario; Rat Portage, Ontario; Prince Albert, Saskatchewan; Vancouver, C.-B; Zarzinski d’Autriche et beaucoup, beaucoup plus encore.
Les terres agricoles étaient disponibles en vertu de l’Inscription d’établissement de 160 acres offerts à tout chef de famille ou mâle de plus de 21 ans pour la somme modique de 10 $. »
(traduction) Rose R. Blom, auteur du livre du centenaire de la municipalité rurale de Taché, 1980
Source: Blom, R.R. (1980, avril). Taché Rural Municipality 1880-1980 (p. 10). Commandé par le Conseil de la municipalité rurale de Taché. Derksen Printers, Steinbach : Manitoba. Extrait des collections numérisées de l’université du Manitoba le 3 juin 2020 de http://hdl.handle.net/10719/3055598
Page couverture de « Fruitful Manitoba », mémoires de Jean Monnet, homme d’État français et fondateur de la Communauté européenne, à l’époque de ses dix-huit ans comme vendeur voyageant à Winnipeg et Calgary en 1906. Ses mémoires ont été traduites et publiées par Richard Mayne en 1978. Archives et collection spéciales de l’université du Manitoba. Jean Monnet Centre for International Law, Harvard Law School, New York, NY. Extrait le 15 juin 2020 de https://digitalcollections.lib.umanitoba.ca/islandora/object/uofm:2694575
Affiche typique qu’on voyait dans l’Est pour annoncer les terres à vendre au Manitoba et dans le Nord-Ouest. Riel Rebellion – Rébellion du Nord-Ouest. La Société du Concours Begbie. Extrait le 5 juin 2020 de Riel Rebellion
Groupes de peuplement dans le sud-est du Manitoba à la suite de l’arpentage des terres fédérales et du Homestead Act. Les collectivités identifiées comme étant « Français[es] » étaient plutôt métisses ou de langue française, cependant, après les événements de 1869-1870, beaucoup de Métis ont quitté le Manitoba pour échapper à la discrimination dont ils étaient victimes et afin de préserver leur mode de vie. Cette carte illustre les types de colonisation parmi les immigrants qui ont pris des concessions dans la région avec l’achèvement du chemin Dawson en 1871, et plus tard, avec l’achèvement du chemin de fer liant l’Est du Canada à Selkirk en 1878 (p. 36). Source : Province du Manitoba, Culture, Patrimoine et Tourisme. Écrit par Edward M. Ledohowski de la Direction des ressources historiques (2003). « Le paysage culturel de la région de l’Aile-de-Corbeau dans le sud-est du Manitoba », 5.0 Groupes de peuplement. Extrait le 5 mars 2020 de https://www.gov.mb.ca/chc/hrb/internal_reports/pdfs/crow_wing_settlement_groups.pdf
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